l'arrivée de l'homme , n'a pas la sagesse de la nature
Page 1 sur 1
l'arrivée de l'homme , n'a pas la sagesse de la nature
Un jour en passant, perdu dans l'univers
Il regardait la terre qu'un soleil éclatant
Eclairait dans le ciel sur un fond bleu perçant
Fusionnant les montagnes, les mers et les prés verts...
Il était là, ce regard, charitable et aimant
Posé sur la planète, beau et compatissant...
Plein de vagues frileuses perlaient dans l'océan
Si rempli d'espérances et de vies silencieuses,
Des milliers d'animaux et de plantes gracieuses
S'ébattaient en ces eaux dans de profonds béants,
Des étoiles des baleines, des algues innombrables
Et des milliers de sortes de poissons invraissemblables...
Des montagnes si hautes que les neiges éternelles
Jetaient les longs reflets des rayons de soleil
Sur les plaines de fleurs où butinent les abeilles,
Les arbres et les fougères s'élançaient dans le ciel
Où des nuées d'oiseaux gazouillaient à tue-tête...
C'était un arc-en-ciel de couleurs en paillettes...
La terre était creusée de millions de terriers
Ou vivaient des insectes, des souris, des vipères,
Tellement d'animaux sur le bords des rivières
Se promenaient tranquilles, repus, désaltérés...
Et soudain sur ce sol l'homme est apparu
Et a fait de la terre son paradis perdu...
Il regardait la terre qu'un soleil éclatant
Eclairait dans le ciel sur un fond bleu perçant
Fusionnant les montagnes, les mers et les prés verts...
Il était là, ce regard, charitable et aimant
Posé sur la planète, beau et compatissant...
Plein de vagues frileuses perlaient dans l'océan
Si rempli d'espérances et de vies silencieuses,
Des milliers d'animaux et de plantes gracieuses
S'ébattaient en ces eaux dans de profonds béants,
Des étoiles des baleines, des algues innombrables
Et des milliers de sortes de poissons invraissemblables...
Des montagnes si hautes que les neiges éternelles
Jetaient les longs reflets des rayons de soleil
Sur les plaines de fleurs où butinent les abeilles,
Les arbres et les fougères s'élançaient dans le ciel
Où des nuées d'oiseaux gazouillaient à tue-tête...
C'était un arc-en-ciel de couleurs en paillettes...
La terre était creusée de millions de terriers
Ou vivaient des insectes, des souris, des vipères,
Tellement d'animaux sur le bords des rivières
Se promenaient tranquilles, repus, désaltérés...
Et soudain sur ce sol l'homme est apparu
Et a fait de la terre son paradis perdu...
adele- administratrice, fondatrice et créatrice du forum "bleu"
- AM depuis 36 ans,
votre citation du moment : Mon cri : raison, tolérance, humanité (Voltaire)
Sujets similaires
» Un peu de sagesse..
» SAGESSE INDIENNE.
» Les trois portes de la sagesse
» nouvelle loi sur les soidisant avantage en nature
» SAGESSE INDIENNE.
» Les trois portes de la sagesse
» nouvelle loi sur les soidisant avantage en nature
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|